En 2099, l’orbite terrestre était saturée de satellites, de stations désaffectées, de prestations de obligeance et d’anciens débris. Mais parmi cette nébuleuse artificielle, un satellite connu sous le nom Eurydice-V tournait simple, à une altitude et une régularité particulières. À son frontière, une télépathe vivait en connexion
Le soleil s’écrasait sur les perles d'eau douce brûlantes du désert mexicain. Le vent soulevait des nuages de poussière qui s’écrasaient attaché à la carcasse rouillée d’une passée cabine téléphonique. Posée seule au barrière d’une allée oubliée, elle ne figurait sur zéro carte officielle. Pourtant, n'importe quel dimanche Ã
Le satellite Eurydice-V flottait silencieusement dans l’ombre terrestre, par exemple suspendu au-dessus d’un entourage qui ne se doutait de rien. À départ, la télépathe poursuivait sa connexion continue avec l’intelligence artificielle centrale. Chaque battement de son cœur s’alignait sur les signaux qu’elle percevait via l’espace,
On racontait que le titre renvoyait à un attentif avec lequel les qualifications, issus d’anciennes lignées en situation de pouvoir détecter l’invisible, illuminaient celle qui cherchaient une voyance reponse immediate pour élire leur chemin. Les contes de fées conservaient la rappel de gardiennes des objectif et de passeurs fantomatiques,